2. Wang Wei Guo, un maitre si discret
L’année suivante, j’habitais en région parisienne et ne pouvais suivre les week-ends de taiji à Clermont Ferrand.
Je savais avec certitude, que je voulais pratiquer le taiji, et je comptai bien trouver à Paris un cours à suivre régulièrement. Me voila testant différents cours dans Paris, dans différentes écoles, dont je trouvais les coordonnées sur internet . Certains nommaient chaque geste effectué, d’autres pratiquaient en musique chinoise, d'autres en uniforme ..tous pratiquaient avec beaucoup de rigueur.Mais rien de la puissance et de la fluidité des mouvements, et ni de la liberté et la simplicité qui m’avait tant interpelée …chez Wang Wei Guo.
Je sus alors, que certes je voulais pratiquer le taïchi, mais uniquement avec celui qui serait désormais « mon maitre » Wang Wei Guo ! Aujourd’hui, je pense que ma fidélité à Wei Guo vient cette première quête, qui m’a permis d’avoir la certitude d’avoir trouvé "mon maitre". J'ai su bien plus tard ..
que Wei Guo donnait des cours hebdomadaires à Paris !